CONSEILS POUR VOTRE TEXTE DE SOUVENIRS SUR LA PLAQUE FUNERAIRE
Les mentions classiques :
- Tu restes à jamais dans nos cœurs
- Ton souvenir restera à jamais gravé dans nos cœurs
- Tout passe, tout s’efface, sauf le souvenir
- Je ne t’oublierai jamais
- Repose en paix mon ange
- Ici repose un ange
- Petit ange, ton regard restera à tout jamais dans nos cœurs
- Tu es parti trop tôt
- Ton départ me laisse inconsolable
- Nous saluons ton courage. Avec amour
- Ne meurt que celui qu’on oublie
- De près ou de loin notre pensée est toujours tournée vers toi
- Ta lumière a éclairé ma vie
- Le soleil s’est couché trop tôt
- Que ton repos soit doux comme ton cœur fut bon
- Ton souvenir est un joyau dont mon cœur est l’écrin
- Le souvenir est une rose au parfum discret, que l’on arrose chaque jour avec les larmes du regret
- Le souvenir est une fleur qui ne veut pas mourir
- A toi vont nos larmes et nos pensées de chaque jour
- T’aimer toujours et ne jamais t’oublier
- Les années passent, les souvenirs restent
- Tu emportes dans ta tombe nos regrets éternels
- Tu vivras toujours dans nos cœurs
- Par la pensée tu restes auprès de moi
- Mon cœur ne t’oubliera jamais
- Notre pensée pour toi, ton souvenir pour nous
- Invisible à nos yeux, si présent dans nos cœurs
- Mon cœur pleure mais mon âme sourit car tu es près de moi
- Une fleur, un baiser et notre cœur pour t’aimer
L’inscription sera relative à la vie de votre défunt, à son œuvre tout comme à ce qu’il a transmis de son vivant :
- Le temps adoucit la douleur mais n’efface pas le souvenir
- Chaque jour qui passe tisse le fil invisible de ton souvenir.
- Sur le sable mouvant où s’écoule la vie croît une douce fleur que mon cœur a choisie
- Parler de toi c’est te faire exister ; ne rien dire serait t’oublier.
- Que son repos soit doux comme son cœur fut bon.
- Il manquera toujours quelqu’un pour faire sourire ma vie – Toi.
- Un jour, nous viendrons nous asseoir près de toi, dans la maison de Dieu.
- Nous avons salué ton courage face à la maladie.
- Depuis que tes yeux se sont fermés, les miens ne cessent de pleurer.
- Tous ceux qui t’ont connue te regrettent et te pleurent.
- Dors, Papa, dors, mais que nos rires d’enfants, tu les entendes encore au plus profond du firmament.
- Ton souvenir est comme un livre bien aimé qu’on lit sans cesse et qui jamais n’est refermé.
- Si la vie n’est qu’un passage sur ce passage au moins semons des fleurs.
- Nous étions deux pour nous aimer, je reste seul(e) pour te pleurer.
- Ensemble nous étions heureux, jamais je ne t’oublierai.
- A toi notre ami, tu aimais la vie. Que notre amitié accompagne nos pensées.
- Ton amitié restera chère à notre souvenir.
- Il s’est éteint comme il a vécu, dans la paix et la douceur
- Elle s’est éteinte comme elle a vécu, dans le calme et la gentillesse
- Sa plus grande joie était de faire le bonheur des autres
- Le soleil a brillé, un nuage l’a emporté, mais son souvenir restera gravé dans nos cœurs à jamais
- Tu as fait preuve de courage ta vie durant
« Tu n’es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis ». Victor Hugo
« La mort tombe dans la vie comme une pierre dans un étang (…). Enfin le calme à nouveau, mais pas du tout le même silence qu’auparavant, un silence, comme dire : assourdissant ». Christian Bobin
« Le souvenir est le parfum de l’âme ». George Sand
« Dieu a donné une sœur au souvenir et il l’a appelée espérance ». Michel-Ange
« Faites silence autour de cette tombe. Laissez l’enfant dormir, et la mère pleurer ». Victor Hugo
« Rien n’est plus vivant qu’un souvenir ». Federico Garcia Lorca
« On ne voit bien qu’avec le cœur ; l’essentiel est invisible pour les yeux ». Saint-Exupéry
« Le jardin de ce monde ne fleurit que pour un temps ». Gandhi
« Je t’aime avec mon cœur ancien
Je t’aime avec ce que mon être
A de plus fort contre la mort. Je t’aime
Avec ce que j’ai d’immortel ». Sully Prudhomme
« C’est dans le sommeil de la mort que reposent pour jamais les maladies, les douleurs, les chagrins, les craintes, qui agitent sans cesse les malheureux vivants ». Bernardin de Saint-Pierre
« Le livre de la vie est le livre suprême
Qu’on ne peut ni fermer ni ouvrir à son choix
Le passage attachant ne s’y lit pas deux fois
Et le feuillet fatal se tourne de lui-même
On voudrait revenir à la page où l’on aime
Mais la page où l’on meurt est déjà sous nos doigts »
« L’amour est un long fil d’or qui ne se brise qu’à la mort »
« Perdre l’être que l’on aime c’est perdre une partie de soi-même »
« Quoi que je fasse, où que je sois, rien ne t’efface, je pense à toi »
« Le soleil s’est couché avant la fin du jour »
« Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-tu hors de nos pensées, simplement parce que tu es hors de notre vue ? « Tu n’es pas loin, juste de l’autre côté du chemin »
« Les morts ne sont vraiment morts que lorsque les vivants les ont oubliés ». (Proverbe malgache)